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  • jeudi 21 septembre 2023

    Aménagement terrain communal

    Cette année La Graine Indocile a participé à un projet d'aménagement d'un terrain communal en Corrèze. Voici un petit compte-rendu de cette collaboration où la biodiversité prend peu à peu sa place dans les espaces communs !

        
    Disposant d'un terrain communal d'un peu plus de 3 hectares composé en grande majorité de prairie fauchée, d'un étang de 600 m² et d'une ripisylve (ensemble boisé qui borde un cours d'eau) de 300 mètres de long, la mairie a souhaité créer un parcours de santé pour les citoyens. Le terrain comportant une zone humide protégée (trame bleue), la commune a fait appel à deux associations de protection de l'environnement afin de mettre en valeur ces précieuses ressources. Une partie du terrain a été allouée à l'association des croqueurs de pommes qui ont planté plusieurs fruitiers et réalisés des ateliers
    greffe. Une autre zone du terrain nous a été confiée afin d'aménager et de préserver la biodiversité spécifique à ce milieu particulier.
    Marre déjà existante

    Après plusieurs rencontres et discussions avec les élus, nous avons réussi à trouver un terrain d'entente sur un aménagement possible. Nous avons trouvé un compromis entre les envies de la mairie de conserver des espaces ouverts, la facilité d'entretien pour les agents communaux, et le désir d'abriter de la vie et de laisser la place au sauvage !

    Les propositions retenues ont été :

    1. L'implantation de deux haies de plantes mellifères et comestibles : une haie pour délimiter l'espace de parking et une autre pour agrémenter le parcours de santé.
    2. L'installation d'une mare en aval de l'étang afin de créer un corridor écologique aquatique pour accueillir plus de biodiversité.
    3. La plantation de quelques arbres fruitiers dans la zone du corridor aquatique, en contrebas de la mare.
    4. La préservation de la ripisylve

    A l’interface entre milieux aquatiques et terrestres, la ripisylve révèle une véritable valeur pour tous les services qu'elle rend à la société et dispose d’une dynamique propre douée de fonctions multiples :

    Protection naturelle des berges contre l’érosion : l’enracinement des arbres favorise le maintien des berges et limite le déplacement des cours d’eau.
    Limitation des conséquences des crues : la végétation freine le courant d’eau lors des crues et peut donc limiter le risque d’inondation et de divagation. Elle freine également le ruissellement et le lessivage des sols.
    Filtration : les eaux se trouvent naturellement épurées grâce aux micro-organismes présents sur les racines des arbres et dans le sol.
    Régulation de la ressource : la ripisylve améliore l’infiltration et le stockage de l’eau dans les nappes souterraines et à la surface des sols.
    Apport de l’ombre : la ripisylve, en favorisant l’ombrage, permet de réduire le réchauffement des eaux, l’évaporation, l’eutrophisation, l’asphyxie du cours d‘eau, et de lutter contre certaines espèces invasives.
    Biodiversité et diversification des habitats biologiques : la ripisylve constitue une zone de refuge, une source de nourriture et des corridors pour les animaux.

    Le verger planté

    Afin d'inscrire le projet dans une démarche de co-création et d'impliquer les citoyens de la commune et des communes alentours, La Graine Indocile a proposé quatre ateliers ouverts à tous :

    • plantation de haies mellifères et comestibles,

    • la biodiversité des zones humides,

    • discussion autour de la mare de biodiversité,

    • les plantes sauvages bio-indicatrices.

    L'installation des haies fruitières et mellifères sont des atouts majeurs pour améliorer la biodiversité d'un lieu. Celles que nous avons réalisées sont composées en grande majorité d'arbres comestibles bien connus de nos régions comme des pommiers, des poiriers, des cerisiers, etc. Le but étant de montrer qu'une haie peut également être nourricière. Évidemment, puisque nous souhaitions attirer les pollinisateurs, on y retrouve également des végétaux grandement mellifères. 

    Cela dit, il faudra se montrer patient avant de pouvoir profiter de tous ses avantages. Elle atteindra son potentiel dans cinq ans environ.


    Haie mellifère du parking
    Haie mellifère du parcours de santé












       



        


    Bien que la lisière de bois représente probablement le meilleur abri à insectes et autres représentants de la biodiversité, nous avons tout de même décidé de fabriquer un hôtel à insectes comme vecteur de sensibilisation auprès des habitants. Ce fut l'occasion pour tous les participants, petits et grands, de mettre la main à la pâte et d'apprendre à en construire un.




    Quelques nichoirs à oiseaux ont également été posés sur des grands arbres du terrain à plus de 5 mètres de hauteur. En effet, il est bon de savoir qu'un grand nombre d'oiseaux cavernicoles ont des difficultés à trouver des lieux pour pondre. Malheureusement, la majorité des arbres morts sont coupés et ne sont pas laissés en place, entravant la reproduction de nombreuses espèces
                                              




    Pour contribuer à notre échelle à la restauration de ces milieux fragiles que sont les zones humides, une mare de 20 à 30 m² a été creusée en aval de l'étang, proposant ainsi différentes pentes, profondeurs, ombrage, bordures, etc.

    Nous y avons planté des végétaux aquatiques et des plantes de berges. Celles-ci vont créer un habitat ou un lieu de reproduction pour bon nombre d’espèces comme les libellules, les dytiques et les grenouilles.

    Les mares de biodiversité ne sont pas des nids à moustiques comme on pourrait le penser mais au contraire favorisent la présence des prédateurs de ces derniers.


       
     Nouvelle marre créée


                
                                              Menthe aquatique                                          Iris des marais


      Enfin, nous avons observé et discuté au sujet des plantes bio-indicatrices. Il s'agit des végétaux spontanés se développant sur le lieu. La connaissance de leur mode de germination et de croissance permet d'avoir de nombreuses informations quant à la nature du sol qui les accueille.


                
                                       Consoude                                                      Massette 

    De plus, la plupart des végétaux qui nous entourent ont des vertus médicinales et/ou comestibles. Nous sommes nombreux à connaître les vertus de l'ortie ou de l'ail des ours, mais bien d'autres méritent notre attention, comme les plantains, les lamiers, la pulmonaire, le tilleul, etc...

    Les participants à l'atelier sur les plantes sauvages 

    Conclusion

    Notre association a beaucoup apprécié de collaborer à ce projet communal, cela nous a permis de transmettre nos connaissances dans un cadre nouveau, merci pour cela ! Les échanges et la participation active des nombreuses personnes venues s'impliquer lors des ateliers donne de l'espoir car nous sentons que ces thématiques importent à un nombre grandissant de personnes : nous sommes tous concernés. En parallèle de ce projet, nous continuons à mener des actions éducatives autour de la biodiversité auprès d'enfants des écoles des communes alentours.






    mardi 10 janvier 2023

    Le renard



    Le renard est connu pour être le roi de la malice. Anciennement appelé goupil, l'origine de son nom viendrait du Roman de Renart. Ce personnage très rusé, joue des tours aux autres animaux et humains dans le livre. Mais à quoi ressemble vraiment le renard de nos forêts, nos villes et nos jardins ? 




    DESCRIPTION
     
    Le renard est un mammifère de la famille des canidés comme le chien ou le loup. On le retrouve sous différentes espèces en Europe, Afrique du Nord, au Moyen Orient, en Asie, en Australie et en Amérique du Nord. Le renard roux est l'espèce la plus commune en France et en Europe, elle a pour nom latin Vulpes vulpes. C'est l'espèce qui sera décrite tout le long de cet article.
    Si un jour vous rencontrez un renard vous le reconnaîtrez facilement. Il est long de plus ou moins un mètre et mesure environ 40 cm au garrot. Son pelage roux emblématique se distingue facilement. Il possède de longues oreilles, un museau fin et pointu, une truffe noire, de longues moustaches, des pattes courtes et une queue touffue.



     
    Sachez également, qu'il pèse de 6 à 12 kilos et peut courir jusqu'à 40 km/h. C’est un être plutôt sédentaire qui peut vivre jusqu’à une dizaine d’années dans son habitat naturel. On estime sa durée de vie moyenne de 5 à 8 ans et de seulement 16 mois pour ceux qui habitent actuellement dans nos villes.

    ACTIVITÉS ET COMPORTEMENTS
     
    Le renard est un animal nocturne. Vous le croiserez peut-être un matin de bonne heure ou le soir non loin des lisières de bois et de champs. 

    Son régime alimentaire peut ainsi se composer de proies d’origine animale (mammifères, invertébrés, poissons, oiseaux), de végétaux (fruits, épis de céréales), de champignons, ou d’aliments d’origine humaine (déchets trouvés dans les poubelles ou sur les composts, aliments pour animaux domestiques). On estime qu'un renard roux à la campagne peut manger jusqu'à 5000 campagnols par an. 

    Cet animal a un instinct de chasse unique qui lui permet d’attraper facilement les petits mammifères,  qui d'ailleurs constituent son alimentation principale. Il est un super chasseur grâce notamment à ses moustaches ultra sensibles aux vibrations, qui lui permettent d'entendre un rongeur à 100m. 


    REPRODUCTION ET VIE SOCIALE

    Le renard peut vivre seul, en couple ou en groupe. Dans les populations à moyenne ou faible densité, il est majoritairement monogame. L’accouplement a lieu en janvier-février et la gestation dure 53 jours. Pour la mise à bas au printemps, il choisit un environnement propice : arbre creux, cavité dans un éboulis, terrier d’une autre espèce (lapin, blaireau), meule de foin, buses sous une route. Les portées comportent chaque année en moyenne 4 à 5 renardeaux, qui sortent de l’abri à l’âge de quatre à six semaines. Ils atteignent la maturité sexuelle à 10 mois et peuvent s’accoupler dès leur première année de vie. 




    LE RENARD UN SUPER PARENT !

     La renarde fait preuve d’un attachement sans faille envers sa progéniture. Elle veille sur eux avec une attention extrême. Cette attitude s’explique en grande partie par le fait que les renardeaux sont aveugles quand ils arrivent au monde et n’ouvrent leurs yeux que dix jours plus tard. Jusqu’à ce moment-là, ils sont donc exposés à toutes sortes de dangers potentiels et nécessitent une prise en charge totale.
    Ainsi, la renarde s’occupe de ses petits en permanence pendant environ 7 mois et ne s’éloigne jamais d'eux. Elle les cache généralement dans une tanière creusée dans le sol.
    Pour défendre sa famille, elle n’hésite pas à se montrer agressive si un inconnu approche un peu trop. Pour lui permettre d'accomplir son rôle de mère, le mâle se charge d’aller chasser afin de rapporter la nourriture suffisante pour tout le monde et ainsi assurer le bon développement des renardeaux.

    LES MALADIES

    Le renard est mal aimé car il serait vecteur de maladies. Les grandes maladies qui lui sont reprochées sont l'échinococcose, la gale et la rage.

    L'échinococcose est une maladie causée par un parasite, un ver plat qui se trouve dans les crottes de renard. Il est très rare que la contamination passe du renard à l'homme. Il est possible que ce parasite passe du renard au chien pour arriver chez l'homme. C'est pourquoi il est conseillé de vermifuger son chien régulièrement pour éviter tout problème et d'éviter de cueillir des plantes ou des baies à proximité d'une crotte de renard ou de chien. En effet, l'échinococcose ne se transmet pas dans l'urine de renard mais bien dans ses crottes. 

    Pour éviter tout risque de contamination pour les trésors de vos cueillettes vous pouvez les faire cuire au moins une minute à l'eau bouillante avant de les consommer. Si vous voulez en savoir plus sur l'échinococcose et les précautions à prendre pour la cueillette voici une vidéo complète sur ce sujet :


    Le renard peut être également porteur de la rage comme les chiens et les loups. Il a longtemps été le principal vecteur de la rage en Europe. Cependant le virus de la rage a été éradiqué de France depuis 2001. Il existe encore des cas de rage très ponctuels répertoriés par l'arrivée d'animaux domestiques en provenance d'autres pays où le virus existe toujours. 
    La rage est une maladie infectieuse grave, provoquée par un lyssavirus, qui infecte le système nerveux et touche autant les animaux que les humains. Le virus se transmet par morsure ou griffure d’un animal infecté : chien (99 % des cas), chat, renard, ou chauve-souris. La rage peut être prévenue efficacement par la vaccination des chiens. Ce vaccin n'est pas obligatoire en France sauf si vous voyagez avec votre chien à l'étranger. 

    La plupart du temps les renards sont des animaux très farouches qui détalent immédiatement après vous avoir vu. Si vous en croisez un, peu farouche, il est possible que celui-ci ait la gale et soit affaibli. Les renards sont également porteurs d'une gale qui n'est cependant pas transmissible à l'homme mais qui l'est aux chiens. 

    Aujourd'hui le renard transmet peu de maladies à l'homme et ces troubles sont facilement évitables par quelques gestes simples. 





    RÔLE ÉCOLOGIQUE

    De par son régime alimentaire, le renard régule et évite les pullulations de rongeurs. Un seul renard peut manger des milliers de campagnols chaque année. Cette régulation économiserait 2400 à 3000 € par an aux agriculteurs et même jusqu'à 3800 € en région céréalière.
    Malgré les bénéfices que le renard joue dans nos écosystèmes, il est actuellement chassé chaque année pour réguler ses populations. En effet, les attaques de poules et de faisans ne plaisent guère. 
    Cependant comme d'autres prédateurs, cet animal s'autorégule. La proportion de femelles gestantes et le nombre de renardeaux par portée s'adaptent selon les ressources et le territoire disponibles. Ses défenseurs estiment donc qu'il est inutile de chercher à réguler sa population par la chasse.
    Il existe également des prédateurs naturels du renard. Parmi eux, on peut citer par exemple le loup en France ainsi que le coyote en Amérique du Nord.
    Sur l’ensemble du territoire français, la densité de la population semble demeurer stable ces dernières années. 

    Le renard participe par ailleurs à la dissémination et à la régénération d’espèces végétales. En effet, en digérant les fruits et les baies, le renard permet aux graines (pépins et noyaux se retrouvant dans ses déjections) d’être transportées et de germer dans de nouveaux espaces. 


    LE RENARD EN VILLE 

    La chasse et l'intensification des cultures ont poussé de plus en plus le renard à être citadin. Il trouve également, une nourriture abondante dans les poubelles. La ville reste cependant un territoire hostile pour le renard avec la présence des chiens, des chats et des voitures. De plus, ses déplacements ne sont pas facilités par les routes, les murs et les clôtures de jardin.




    Même en ville vous pouvez laisser des espaces refuges dans les jardins pour les renards et pleins d'autres animaux. 

    Le renard est victime de sa réputation de mangeur de poules et vecteur de maladies. La cohabitation en ville peut être difficile car les renards sont joueurs, peuvent faire du bruit la nuit, et mettre le désordre dans les poubelles et les jardins. 

    FAVORISER LE RENARD AU JARDIN

    Bien que la régulation des renards se fasse naturellement, si vous avez envie d'attirer le renard dans votre jardin vous pouvez essayer d’accueillir les plantes et les animaux qui les nourrissent. En laissant un coin d'herbes hautes pour accueillir des campagnols et des oiseaux. En plantant des arbres et des arbustes à baies comme les cerisiers, les petits fruitiers ou même des fraisiers. En installant une marre qui attirera les amphibiens et lui donnera un point d'eau où se désaltérer. 

    Évitez de laisser vos poubelles et les gamelles de vos animaux dehors pour limiter la transmissions de maladies ainsi que la domestication de l'espèce. Le nourrissage est interdit pour que l'animal garde son instinct sauvage. 

    Vous pouvez laisser des endroits creux et secs où le renard et ses renardeaux pourront se réfugier. Un ancien terrier de blaireau, une cavité dans un abri de jardin ou encore un arbre creux sont des endroits parfaits pour l'animal.

    Pour une meilleure cohabitation, clôturer bien le parc de vos volailles ainsi que le poulailler. Vous pouvez également fermer vos poules le soir dans leur poulailler et leur ouvrir le matin. Des attaques peuvent apparaitre la journée pendant le nourrissage des petits.

    Vous pouvez également faire des passages dans vos clôtures de 15cm à 30cm pour le laisser accéder à votre jardin.

    En voulant favoriser le renard c'est des dizaines, des centaines voire même des milliers d'autres espèces que l'on favorise !

    Source : 
    - Office Français de la biodiversité : https://www.ofb.gouv.fr/le-renard
    - Salamandre TV : Nos amis sauvage sur le renard https://www.salamandre.tv/



    dimanche 7 novembre 2021

    Quelques nouvelles de votre association !



     
     
    Malgré le silence de La Graine Indocile ces derniers mois, l'association n'a pas arrêté ses activités. Changements il y a eu, c'est bien vrai, et on vous explique tout ça de ce pas !!!
     
    La période sanitaire qui a bouleversé nombre de quotidiens depuis 2020 a entraîné ici aussi des changements. Suite aux confinements et contraintes légales concernant l'accueil du public, nous avons été amenés à diminuer grandement le nombre d'événements que nous proposons en rapport avec l'accueil au jardin. Vous êtes nombreux à souhaiter venir visiter le jardin, rencontrer et échanger avec nous. Étant limités aussi de notre côté, nous ne pouvions plus, ces derniers temps, répondre favorablement aux différentes demandes...
     

     
     
    Par ailleurs, nous continuons avec joie notre travail de transmission d'alternatives pour une autonomie durable, à travers des conférences, le relais des vidéos de la chaîne Permaculture, Agroécologie, Etc.. et les livres de Damien Dekarz. D'ailleurs, ces derniers « la permaculture au jardin mois par mois » et « la forêt comestible » qui ont connu un incroyable accueil auprès du public, sont en cours de traduction dans différentes langues : Polonais, Turc, Espagnol, Allemand, etc.. !



    Notre jardin corrézien continue d'évoluer. Celui-ci est devenu un refuge LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) ! De nombreux corridors écologiques ont émergé afin de faire circuler la vie sur le site.. Nous avons créé plusieurs biotopes abritant différentes formes de vie : haies, zones humides, zones de prairies ouvertes, plantations,.. A ce sujet, David Bricout, membre historique de La Graine Indocile, travaille actuellement, dans le cadre de son travail de recherche en botanique, sur l'inventaire exhaustif des végétaux sauvages présents sur le terrain,. (Vous pouvez retrouver régulièrement David et ses connaissances sur la chaîne « Permaculture, Agroécologie, etc.. »)
     
     
    Au niveau de l'accueil du public, malgré le contexte particulier, nous sommes très heureux d'avoir pu maintenir le stage Permaculture et Design et contribuer à créer ainsi des liens avec des personnes merveilleuses porteuses d'espoirs et de projets pour le monde. 
     
    Nous avons également démarré un partenariat avec l'école primaire de notre commune : un suivi sur l'année autour du potager en permaculture. Les écoliers viennent régulièrement et à chaque saison au jardin, pour découvrir notre approche du jardinage, expérimenter jeux en coopération et observer la faune et flore sauvage. Un projet qui démarre et qui ravit les grands et les petits ! Dans ce chouette projet, nous sommes heureux de bénéficier des compétences de Caroline Peres, membre active de l'association, qui enrichit les ateliers grâce à ses précieuses connaissances de la faune sauvage.



    En résumé, La Graine développe un partenariat avec l'école primaire, maintient une formation annuelle « Permaculture et Design », et transmet via différents média, ses connaissances et expérimentations (articles, vidéos, livres, etc..).

    Pour continuer à suivre les vidéos, vous pouvez (si ce n'est pas déjà fait!!) vous abonner à la chaîne « Permaculture, Agroécologie, etc... » Et pour le volet Permaculture Humaine, vous pouvez suivre les activités de Marie Adinarayanin sur son site «www.latelierdutao.fr », vous inscrire à sa Lettre d'infos et ainsi être informé des propositions autour de la Communication NonViolente, du Shiatsu et des Pratiques Taoïstes...

    Évidemment, votre association reste en mouvement avec des projets plein la tête. Nous continuons d'évoluer et nous vous tiendrons au courant des changements !







    vendredi 16 avril 2021

    De nouvelles vidéos sur la chaîne "Permaculture Agroécologie Etc..."

    Monsieur David Bricout, membre des premières heures de l'association La Graine Indocile, propose depuis mars 2021 des vidéos sur les plantes sauvages. Voici les 2 premières :

     



     



    La chaîne Permaculture Agroécologie Etc...  :https://www.youtube.com/user/permacultureetc


    Visites et Discussions

    Rencontre avec Jonathan Attias Cofondateur de la Désobéissance Fertile en Corrèze

     

    Et ici une discussion avec Walter Keirse de la pépinière AtmosVert dans la Creuse

     



    Le site internet : https://www.atmosvert.fr/